Car Mohamed Ali, a son époque, était plus qu'un sportif. C'était un representant, un phare, pour tout une generation de noir americain. Et même encore au delà. Comme Martin Luther King il representait une issue a cette inégalité que l'on leur refusait. Ceci explique pourquoi un tel type a eu droit un jour a son apparition dans un comic book. Superman vs Mohamed Ali. Je ne sais pas qui dessine, je ne sais pas qui scénarise, je n'ai pas lut le bouquin. Par contre j'y ai pensé. Et je me suis dit, qu'après tout, en étant aussi conscient de son état de representant d'un peuple, Mohamed Ali était finalement une excellente illustration du mantra de Spiderman : Great powers comes with great responsability. De même, Mohamed Ali était un surhomme, il était même, aux yeux de tous, l'homme le plus fort du monde. Alors pourquoi ne pas le faire affronter son equivalent de papier ? D'autant plus que le rapport ne s'arrête pas là. Bien que Ali boxe uniquement sur un ring, son image donne de la force et du courage a de nombreuses personnes. Superman est aussi un idéal. Un idéal juif, dirons certains, mais finalement international et ne se mélant a aucune confession en particulier. Il n'est pas le surhomme nieztchien, il est le messie qui viens au secours des faibles. Et voilà aussi ce que representait Ali pour les noirs americains et d'ailleurs. Le surhomme qui les representait et leur donnait l'occasion de pouvoir montrer leur force. Et voici surement aussi pourquoi, au délà de son attitude, Ali enervait autant par ses victoires et son égo. Je ne connais pas bien le personnage donc je parle peut être un peu trop vite. Mais vu le rapport que j'ai fait dans ma tête avec ces deux héros de papier, je me suis dit que je devait mieux coucher ma reflection par écrit pour pouvoir y revenir a loisir plus tard. Réactions ?
Tuesday, August 22, 2006
A l'issus de ma lecture ...
Car Mohamed Ali, a son époque, était plus qu'un sportif. C'était un representant, un phare, pour tout une generation de noir americain. Et même encore au delà. Comme Martin Luther King il representait une issue a cette inégalité que l'on leur refusait. Ceci explique pourquoi un tel type a eu droit un jour a son apparition dans un comic book. Superman vs Mohamed Ali. Je ne sais pas qui dessine, je ne sais pas qui scénarise, je n'ai pas lut le bouquin. Par contre j'y ai pensé. Et je me suis dit, qu'après tout, en étant aussi conscient de son état de representant d'un peuple, Mohamed Ali était finalement une excellente illustration du mantra de Spiderman : Great powers comes with great responsability. De même, Mohamed Ali était un surhomme, il était même, aux yeux de tous, l'homme le plus fort du monde. Alors pourquoi ne pas le faire affronter son equivalent de papier ? D'autant plus que le rapport ne s'arrête pas là. Bien que Ali boxe uniquement sur un ring, son image donne de la force et du courage a de nombreuses personnes. Superman est aussi un idéal. Un idéal juif, dirons certains, mais finalement international et ne se mélant a aucune confession en particulier. Il n'est pas le surhomme nieztchien, il est le messie qui viens au secours des faibles. Et voilà aussi ce que representait Ali pour les noirs americains et d'ailleurs. Le surhomme qui les representait et leur donnait l'occasion de pouvoir montrer leur force. Et voici surement aussi pourquoi, au délà de son attitude, Ali enervait autant par ses victoires et son égo. Je ne connais pas bien le personnage donc je parle peut être un peu trop vite. Mais vu le rapport que j'ai fait dans ma tête avec ces deux héros de papier, je me suis dit que je devait mieux coucher ma reflection par écrit pour pouvoir y revenir a loisir plus tard. Réactions ?
Tuesday, August 01, 2006
Il était une fois un grand type vert
Erik Larsen est un grand homme mais pourtant j'eprouve du mal a le voir comme étant un de ceux que l'on retiendra comme étant un précurseur de quelque chose. Le precurseur de l'augmentation de la taille des seins de Mary Jane dans Spiderman, peut-être, bien que je sois sur qu'une partie du public de lecteur du tisseur lui sois reconnaissant. Erik Larsen est un bon père de famille. Erik Larsen est aussi un bon dessinateur et même un très bon scénariste. Erik Larsen est aussi très imaginatif. Déjà en classe il passait son temps à créer des comics et des super héros qui affrontait toute sorte de vilain. Il ne jouait pas uniquement avec ses figurines Superman ou Spiderman, il dessinait ses propres personnages et transformait d'innocente feuille blanche en de gigantesque combat intergallactique. Un héros revenait sur ses pages avec régularité : le Dragon. Grand, vert, une crête sur la tête et aucun passé a revendiquer. Le personnage est amnesique mais Larsen ne le sera pas quand il rentrera chez Image Comics, la boite qu'il crée avec ses copains dessinateurs, fachés avec Marvel et l'industrie du comics, desireux de prendre les choses en main et de gerer eux même leurs personnages et leurs profits.
L'histoire est connus de tout les petits fans de comics a travers le monde. Tonton Mac Farlane, Oncle Jim Lee, les charmants enfants Larsen et Valentino et le petit dernier, un peu dégénéré, Rob Liefeld, partent en Californie (ou reste en Californie, je ne jurerais de rien) et monte une boite avec un grand i en guise de logo. Et une bulle au dessus. Très importante la bulle. Chacun a son petit projet et construit un univers propre. Certains sont plus originaux que d'autres et surtout plus ou moins fouillé. Larsen ne fait que fouiller lui, il construit des montagnes avec ce qu'il deterre et bientot le petit monde du Savage Dragon (car en plus d'être un dragon, il ne plaisante pas) s'enrichit de dizaines de personnages. Parfois visible que l'espace d'une case puis de retour au fils des numéros, le nombre d'enemis qui s'oppose au Dragon est inombrable et je me demande même si Larsen les a tous baptisés. Mais le mieux dans tout cela, c'est que les rêves de gosse du petit Larsen sont restés dans le grand et c'est avec la joie communicative d'un môme qui découvre sa première boite de jouet que l'on se retrouve sur le siège passagé d'un grand huit qui n'en finit pas de faire des vrilles dans son scénario tout en nous ramenant a bon port à chaque fin d'histoire.
Nombreuses sont les intrigues, le changement de dimension, le dragon possèdé par un démon, son passage en enfer, la destruction de la moitié de la planète par les martiens, sa poursuite du mafieu local, le Savage Dragon ne manque pas de boulot et il distribue les coups de points tout les jours avec ré

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