Thursday, July 06, 2006
Western assaisonné a la poussière
Quand deux noms d'illustres inconnus s'annoncent sur une couverture, il y a peu de chance pour que le comics sois pris dans les mains du lecteur et que celui ci regarde l'interieur. Il faut donc une couverture pour attirer l'oeil, une bonne couverture qui vous fasse vous demander ce que vous êtes en train de voir et ce que peut donc contenir ce comics a la devanture si allechante. Souvent on m'a fait remarqué que la couverture était plus belle que l'interieur, faute a un artiste different. Parfois ils avaient raison, parfois c'étaient des abrutis qui ne savaient pas de quoi ils parlaient. Hey, Runaways ça tue même si ce n'est pas du Jo chen a l'interieur. Mais pardonnons les les pauvres enfants, ils ne savent pas ce qu'ils disent. Wasteland donc, est une série qui remplis toutes les cases mais qui n'a pas a se plaindre de l'absence du même dessinateur de couverture dans ses pages. L'artiste en question est Ben Templesmith. Autrement connus pour son travail sur Fell, Singularity 7 ou 30 Days of Night. Un brave homme. C'est lui dont le travail m'a attiré vers cette preview de Wasteland et je lui en suis reconnaissant.
Un cowboy rencontre des êtres étranges au language incompréhensible. Il n'a pas l'air surpris le moins du monde et se débarasse de ses adversaires avec facilité bien que ce ne sois pas non plus un roi de la castagne. Il a un petit secret semble t'il, un pouvoir psychique quelconque. Après avoir récupéré les objets de valeurs des mains froides de ses assaillants, le voila repartis vers une ville ou nous nous retrouvons avant lui. Deux autres personnages font alors leur apparition, une jeune femme qui semble tenir le poste de force de l'ordre et une viel homme, marchant et érudit du coin. C'est autour d'un appareil repetant sans cesse un même message dans une langue étrange (mais que semble comprende la jeune femme et notre cowboy) et une lettre que le couple va se former et que l'histoire va commencer. Rien de plus car l'offre se limite a la moitié du premier numéro, un numéro qui sera double quand il sortira, et ça pour le prix d'un simple. Oui, entre le comics et Edouard Leclerc il n'y a qu'un pas, vous ne le saviez pas ? Pour vous procurer cette histoire, passez voir ces messieurs sur leur site.
Ce que j'ai aimais dans cette histoire, et ce pourquoi j'ai choisit de mettre le personnage du cowboy en avatar, c'est ce graphisme assez dépouillé mais convenant parfaitement a une série a l'ambiance mystérieuse. Le regard effacé derrière un chapeau, on pourrait même presque sentir le vent passé dans les buissons a travers les traits de crayons. Les personnages ne sont pas encore totalement formé mais n'évoque pas non plus une histoire grillé d'avance. Seul le classique du pouvoir psychique et du saignement de nez ainsi que la vielle rengaine de l'étranger arrivant en ville et foutant le boxon, sont des routes balisés. Et encore, ce n'est pas tout a fait vrai car le boxon semble être déjà présent dans cette ville et dans ce monde et ce type ne changera pas grand chose. Encore quelque chose qui me plait, ce manque d'idéalisme. Le manga a souvent cette mauvaise habitude de vouloir rendre ses personnages décisifs. Comme si on ne pouvait pas écrire d'histoire sans que le héros ne sois pas un idéaliste hors norme. Ici les personnages rentrent dans la norme du monde dans lequel ils vivent, et c'est cela qui fait vivre a la fois leur univers et leur propre personnalité. Deux auteurs inconnus, une couverture aguichante, allez on prend le comics dans ses mimines et on feuillette. On ne laisse pas passer. Et puis merde vous avez une bonne grosse preview pour vous permettre de vous faire un avis !
Sunday, July 02, 2006
Masked Marvel huh ?
Nouvelle série dans les racks et pas un nouvel off shot des mutants préférés de tout les consommateurs de Curly du monde, ouvrez la bouteille de champagne ! Enfin, non, pas vraiment. Le concept est tout de même sympathique. Dans l'univers Marvel que nous connaissons tous existe une compagnie de comics qui édite en comics les histoires des super héros qui peuplent cette univers. Et bien sur, dans cette compagnie, nous retrouvons tout les scénaristes et les dessinateurs que nous connaissons. Normal, puisque ce sont eux qui scénarisent et dessinent les histoires que nous lisons chaque mois. Le jour ou commence notre histoire, un dessinateur et un scénariste, tout les deux très enthousiaste vis a vis de leur histoire sur un jeune super héros appelé Masked Marvel et qu'ils aimeraient publier chez Marvel. Mais voila qu'Electro arrive et terrorise le staff. Boum ! Aaah ! Ouf ! Bon, emballé s'est pesé et merci le Masked Marvel d'être intervenus a temps. Pour une histoire c'est plutot court mais ce n'est qu'un petit recit bonus trouvable dans le dernier numéros de X-Men.
L'histoire étant résumé, passons a la critique. D'abord le dessin se place dans la même lignée que celui de Stuart Immonem mais sans l'efficacité et la maitrse de l'outil informatique dont fait preuve le canadien. Un effort efficace et convenable mais qui ne procurera pas un degré d'interet supérieur a qui s'interesserait a cette série. Le héros en lui même est d'un basique a mourir. Le Masked Marvel est exactement le genre de héros que l'on aurait put voir débarquer dans un comics Image quand ceux là appreciait publier les séries de leur potes pour la simple, et "bonne raison", qu'ils étaient leur pôtes. Un concept qui tient sur une demi private joke reservé aux afficionados des comics shops c'est assez maigre et ça ne passera surement pas le cap des douze numéros. Et je suis optimiste. Si je l'étais par contre je verrais dans cette série une envie de donner une nouvelle dimension aux séries Marvel en publiant entre tout les récits de super héros une série originale se déroulant dans le monde de la publication. Le problême est en fait le héros en lui même qui est aussi plat quand il est en costume que quand on le cotoie en tant que scénariste. Peut être n'est ce qu'une médiocre introduction a un bien meilleur concept mais je doute. Je doute beaucoup.
L'histoire étant résumé, passons a la critique. D'abord le dessin se place dans la même lignée que celui de Stuart Immonem mais sans l'efficacité et la maitrse de l'outil informatique dont fait preuve le canadien. Un effort efficace et convenable mais qui ne procurera pas un degré d'interet supérieur a qui s'interesserait a cette série. Le héros en lui même est d'un basique a mourir. Le Masked Marvel est exactement le genre de héros que l'on aurait put voir débarquer dans un comics Image quand ceux là appreciait publier les séries de leur potes pour la simple, et "bonne raison", qu'ils étaient leur pôtes. Un concept qui tient sur une demi private joke reservé aux afficionados des comics shops c'est assez maigre et ça ne passera surement pas le cap des douze numéros. Et je suis optimiste. Si je l'étais par contre je verrais dans cette série une envie de donner une nouvelle dimension aux séries Marvel en publiant entre tout les récits de super héros une série originale se déroulant dans le monde de la publication. Le problême est en fait le héros en lui même qui est aussi plat quand il est en costume que quand on le cotoie en tant que scénariste. Peut être n'est ce qu'une médiocre introduction a un bien meilleur concept mais je doute. Je doute beaucoup.
Batman #654 - Face the face
Quand on a donner les clés de la série Batman à James Robinson on a surement lui donné pas mal de crédit pour qu'il bouge un peu tout cela. Et autant le dire simplement, il l'a fait. Alors on va surement crier a l'infamie en voyant un Batman plus humain prendre des décisions que n'aurait pas prise sa version précédente mais au moins cela donne un courant neuf a un personnage qui aurait finis par s'autoparodier en devant trop froid et calculateur et donc en s'éloignant du super héros et en devenant un autre sociopathe dans les rues de Gotham City. Il n'en reste pas moins un névrosé de première classe. On ne sort pas le soir dans un costume de chauve souris pour rendre la justice même quand on a vu nos parents mourir devant nos yeux. Mais quand a la deuxième page, une case entière est consacré a un plan de coté ou Batman apprends que quatre policiers sont morts, et ou celui ci semble concerné, alors effectivement on comprends que ce changement de nature va prendre une ampleur bien plus importante et que ce n'est pas juste un changement que les fans remarqueront a la loupe. Rien que la conclusion de cette histoire dans le manoir Wayne démontre encore mieux que Batman et Bruce ne seront pas deux personnes différentes mais deux face d'une même pièce.
Autre changement, ou plutot retour en arrière, avec la réapparition d'un enemis du justicier de Gotham City qui avait pourtant disparut en grande pompe dans les pages de Hush (de Jeff Lob et Jim Lee) . Mais bon, ça c'est une habitude. Par contre, surprise, on fait apparaitre une nouvelle tête qui avait été introduite dans les pages de l'excellente mini série Arkham Asylum (mais pas celle de Grant Morrisson et de Dave Mc Kean). C'est donc avec moulte revelation et des changements radicaux que la première histoire de Batman se déroulant un an après les evenements de Infinite Crisis que le Gotham City nouveau se dévoile. De bonnes idées mais une narration tout de même un peu bancales dans les premières pages avec des changements de lieux et de temps qui ne sont pas très clairs. On se demande un peu quand est censé se dérouler ce dialogue dans le bureau du commissaire Gordon et si les cases ou Batman et Robin se trouvent dans le zoo ne sont pas en fait des flashbacks. Quand a Don Kramer il est plus que competent pour conserver l'atmosphère noir et réaliste de cette histoire mais souffre de quelques problêmes pour des personnages qui le sont beaucoup moins. Donc dès que l'on vois un super vilains défigurés cela deviens un peu moins crédible. Par contre son Batman est tout en muscle et dégage une certaine force tout en ne le rendant pas inhumain. Autant dans le scénario et dans le dessin, c'est un bon compromis entre qui conviens assez bien a la série tout en la rendant plus neuve et peut être plus dynamique. Mais ça on le verra avec les numéros suivants.
Amazing Spiderman #533 - the Night the War came home
Comment j'en parlais dans un post précédent, notre cher Spiderman a pris une décision qui viens d'affecter toute son histoire et de changer radicalement la direction que prendront ses histoires pour les années qui suivront, peut être même jusqu'a la fin de l'existence de ce héros. Alors que le numéro des Fantastic Four traitait plutôt d'un point de vue ideologique, ici c'est le coté looser du héros qui exposé et prend encore plus de sens que dans les histoires que j'ai put lire de lui depuis quelques temps. Certains pensaient que la revelation de l'identité de Peter Parker au monde entier allait rendre le héros moins personnel et trahir son caractère de personnage tourmenté de tout coté mais ils se sont bien largement trompés. Reveler son identité secrète viens de causer un enorme tas de problême au tisseur et Mr Straczynski (oui, encore lui) le montre bien durant le voyage que Peter effectue entre la conférence de presse et son logement dans la tour des Avengers.
J Jonah Jameson tout d'abord réagit comme le grand enemis de Spiderman qu'il est et en enclenchant une vendetta peut être encore plus virulente que celle que le Daily Bugle a jamais mené. Les detracteurs ensuite semble être bien plus nombreux et tout comme les detracteurs de l'avortement qui manifestent devant les cliniques aux Etats Unis ils ne cachent pas leur haine a son egard. Un peu d'humour tout de même et quelques repliques amusants mais le ton est clairement donné vers des evenements de plus en plus dramatiques. Encore une fois, ses grands pouvoirs vont lui incomber encore plus de responsabilités et la galerie d'histoire possible dans le cadre de cette série viens juste de se renouveller. Ron Garney est quand a lui juste compétent dans son rôle de dessinateur et use d'un style assez proche de John Romita Jr (Wolverine, Hulk) mais sans toutefois briller. Cela est sans doute due a la colorisation par ordinateur qui manque de variété mais d'un point de vue visuel, tout comme Mr Mckone, les illustrations ne renforcent que peu l'impression de malaise que ressent le personnage principale alors que sa vie prend un nouveau tournant qui s'annonce comme des plus perilleux. En fait, en lisant ce numéro, on se demande bien qu'elle est le point positif de cette revelation et si ce n'est pas une des plus grandes erreurs que Peter Parker viens de commettre. Peut être même la plus grande depuis sa décision de ne pas arrêter le futur meurtrier de Oncle Ben. Et nous savons tous ce que cette décision lui a couté.
J Jonah Jameson tout d'abord réagit comme le grand enemis de Spiderman qu'il est et en enclenchant une vendetta peut être encore plus virulente que celle que le Daily Bugle a jamais mené. Les detracteurs ensuite semble être bien plus nombreux et tout comme les detracteurs de l'avortement qui manifestent devant les cliniques aux Etats Unis ils ne cachent pas leur haine a son egard. Un peu d'humour tout de même et quelques repliques amusants mais le ton est clairement donné vers des evenements de plus en plus dramatiques. Encore une fois, ses grands pouvoirs vont lui incomber encore plus de responsabilités et la galerie d'histoire possible dans le cadre de cette série viens juste de se renouveller. Ron Garney est quand a lui juste compétent dans son rôle de dessinateur et use d'un style assez proche de John Romita Jr (Wolverine, Hulk) mais sans toutefois briller. Cela est sans doute due a la colorisation par ordinateur qui manque de variété mais d'un point de vue visuel, tout comme Mr Mckone, les illustrations ne renforcent que peu l'impression de malaise que ressent le personnage principale alors que sa vie prend un nouveau tournant qui s'annonce comme des plus perilleux. En fait, en lisant ce numéro, on se demande bien qu'elle est le point positif de cette revelation et si ce n'est pas une des plus grandes erreurs que Peter Parker viens de commettre. Peut être même la plus grande depuis sa décision de ne pas arrêter le futur meurtrier de Oncle Ben. Et nous savons tous ce que cette décision lui a couté.
Fantastic Four #536 - Street fighting
"New reader's friendly" est une de ces expressions que seules les comics peuvent dispenser sur leur couverture. L'histoire que contiens un comics de super héros est automatiquement lié a des années d'évenements, de remaniements, de revelations et de drame aux ramifications plus ou moins profonde. Essayer d'y echapper reviens a chasser sa propre queue (quand on est un chat, ou un chien ... enfin, ce genre de queue, vous voyez ?). C'est pour cela qu'en lançant une histoire tel que Civil War et en la promotant par des medias qui ne sont pas affiliés directement au monde du comic book, Marvel prend un risque important en procurant un boost certains a ses titres mais en prenant le risque que beaucoup de personnes ne suivent pas les intrigues déjà commencé dans chacune des séries. Fantastic Four, par exemple, avec son numéro #538, propose une vision assez contrebalancé de la guerre que se mène Iron Man et Captain America. Ont peut être d'accord avec certains sans pour autant aller se battre. C'est aussi ce point de vue que défendent aujourd'hui de plus en plus de personnes en ce qui concerne la guerre en Irak. Alors que les soldats revenant du Vietnam avait été haïs par la population qui s'était retourné contre ce conflit, les soldats present en Irak sont maintenant regardés eux aussi comme des combattants que l'on peut respecter mais sans pour autant être en accord avec les raisons de cette guerre.
Ne pas haïr ceux qui ne sont que d'autres victimes dans ce conflit. C'est cette position que Ben Grim, alias the Thing, introduit dans ce numéro quand il s'exprime devant quelques manifestant désireux de protéger leurs quartiers et leurs héros. Pendant ce temps, le marteau de Thor, sujet de l'arc précédent ou le Docteur Doom tentait de s'en emparer, attire la foule tel Excalibur que l'on tente d'arracher de son socle. Deux histoires parallèle qui demandent donc un degré variable de connaissance de l'univers Marvel et aussi deux tons très différent puisque l'histoire du marteau et de ceux qui tentent de le soulever est plutot placé sous un angle comique tandis que tout ce qui concerne Civil War, et surtout le coma de Johnny Storm, battus par une bande de type attendant a l'entrée d'une boite de nuit et désireux de passer leur colère sur "un de ces héros responsable de la mort de tant de gens" (voir Civil War #01). Du grave et du moins grave mais tout se tiens et s'enchaine assez bien pour que la lecture du numéro se fasse sans aucun ennuis. On aura surement du mal a reconnaitre le Puppet Master et le Mad Thinker (que je n'avais jamais vu en dehors des fiches des Strange Special Origin, c'est dire leur ancienneté) mais le neophye survivra. C'etait par contre la première fois que je lisais un comics de Mr McKone (contrairement au scénariste, Mr Straczynski [Rising Star, Supreme Power, Amazing Spiderman, Babylon 5]) au trait assez moderne, avec quelques reminiscence de Jae Lee, mais dont la version un peu trop cartoon de the Thing ne me reviens pas. Peut être est ce la rencontre entre un personnage assez peu réaliste et un environnement dont les protagonistes ont une apparence plus humaine mais le front bas et les rochers un trop encré ne font pas bon ménage a mes yeux. Mais pour qui suis les Fantastic Four cela ne devrait pas poser de problêmes majeurs. Une pièce interessante dans le puzzle que forment les divers numéros affiliés Civil War et un bon compromis entre les histoires en cours et l'évenement majeur actuel de l'univers Marvel.
Ne pas haïr ceux qui ne sont que d'autres victimes dans ce conflit. C'est cette position que Ben Grim, alias the Thing, introduit dans ce numéro quand il s'exprime devant quelques manifestant désireux de protéger leurs quartiers et leurs héros. Pendant ce temps, le marteau de Thor, sujet de l'arc précédent ou le Docteur Doom tentait de s'en emparer, attire la foule tel Excalibur que l'on tente d'arracher de son socle. Deux histoires parallèle qui demandent donc un degré variable de connaissance de l'univers Marvel et aussi deux tons très différent puisque l'histoire du marteau et de ceux qui tentent de le soulever est plutot placé sous un angle comique tandis que tout ce qui concerne Civil War, et surtout le coma de Johnny Storm, battus par une bande de type attendant a l'entrée d'une boite de nuit et désireux de passer leur colère sur "un de ces héros responsable de la mort de tant de gens" (voir Civil War #01). Du grave et du moins grave mais tout se tiens et s'enchaine assez bien pour que la lecture du numéro se fasse sans aucun ennuis. On aura surement du mal a reconnaitre le Puppet Master et le Mad Thinker (que je n'avais jamais vu en dehors des fiches des Strange Special Origin, c'est dire leur ancienneté) mais le neophye survivra. C'etait par contre la première fois que je lisais un comics de Mr McKone (contrairement au scénariste, Mr Straczynski [Rising Star, Supreme Power, Amazing Spiderman, Babylon 5]) au trait assez moderne, avec quelques reminiscence de Jae Lee, mais dont la version un peu trop cartoon de the Thing ne me reviens pas. Peut être est ce la rencontre entre un personnage assez peu réaliste et un environnement dont les protagonistes ont une apparence plus humaine mais le front bas et les rochers un trop encré ne font pas bon ménage a mes yeux. Mais pour qui suis les Fantastic Four cela ne devrait pas poser de problêmes majeurs. Une pièce interessante dans le puzzle que forment les divers numéros affiliés Civil War et un bon compromis entre les histoires en cours et l'évenement majeur actuel de l'univers Marvel.
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